Catégorie : STI2D
-
Louna Le Breton et Màili Le Roux sndA
Pourquoi choisir la filière STI2D ?
Par la voies générale : Spécialité SI Sciences de l’Ingénieur
Par la voie technologique : STI2D Sciences et Technologies de l’Industrie et du Développement Durable

Expérimenter et pas seulement de rester sur des concepts c’est le but de la STI2D .
Les notions mise en avant sont l’innovation technologique, et 2D puis les maths et la physique.
-
Lubin ,Kevin
21 : Quels sont les principaux domaines d’étude abordés dans la filière STI2D et comment ces compétences peuvent-elles être appliquées dans le secteur de l’innovation technologique ?
réponse :
-
Mikail , Kenan
19 :Comment la filière STI2D aide-t-elle les élèves à lier théorie et pratique ?
réponse :Ils apprennent la théorie des faites puis ils mettent en œuvre ces théorie en faisant des travaux pratiques20:Qu’est-ce qui distingue la filière STI2D d’un bac professionnalisant ?
réponse :La série STI2D permet d’acquérir des compétences technologiques étendues, transversales à tous les domaines industriels, ainsi que des compétences approfondies dans un champ de spécialité. Le bac STI2D n’est pas un bac professionnalisant, c’est-à-dire qu’ils doivent poursuivre des études -
timothé et lucas STI2D
La filière STI2D est une filière technologique qui, à la différence de la voie générale où on peut avoir, par exemple, des sciences de l’ingénieur, va permettre aux élèves, vraiment, d’expérimenter et pas seulement de rester sur des concepts. Puisqu’en STI2D, l’idée, c’est vraiment d’avoir, de découvrir ce que c’est l’innovation technologique, et 2D parce qu’il y a développement durable. Et aujourd’hui, on essaie de penser pour les futurs techniciens, ingénieurs, dans l’industrie, de penser vraiment les produits avec cette notion de développement durable.
Donc en fait, là, c’est mon téléphone qui fait la vidéo. Je suis dans l’informatique depuis que je suis tout petit et la programmation, ça me tentait depuis tout le temps. C’était vraiment ce que j’attendais, parce que du coup, là, je code, je fais du câblage, donc c’est vraiment pas mal. Et puis, il y a beaucoup de pratique aussi.
Dans certaines matières, on n’a pas forcément des cours où le prof nous parle et on répond, on va avoir une feuille, des consignes, après on fait, en fait, on expérimente nous-mêmes. Par exemple, en SIN, on a des programmes, après on doit les tester, on doit en créer certains nous-mêmes.
Ils vont faire vraiment de la pratique expérimentale avec, selon la spécialité, du travail en informatique, de la modélisation de pièces sur informatique puis ensuite du prototypage, voire du travail sur tout ce qui est gestion des alimentations de l’énergie dans d’autres spécialités. Donc, ce sont vraiment des cours où ils ont une grande autonomie parce qu’ils travaillent beaucoup avec des projets.
Ici, on a un robot. On devait faire un robot par équipe de quatre ou cinq. Donc ici, nous, concrètement, en tant qu’E-tech, on doit réaliser toute la partie modélisation 3D.
Et les SIN, eux, ils ont apporté tout ce qui est les cartes informatiques, les servomoteurs pour, par exemple, je vous donne l’exemple ici : on a une espèce de portique qui s’ouvre quand on enclenche un bouton, qui sera déclenché grâce aux servomoteurs.
En soi, ce genre de projets, ça nous permet d’acquérir beaucoup de compétences sur la réalisation de projets. On doit avoir une partie de conception personnelle et puis après, pour faire les tests, il y a aller voir nos collègues qui sont en programmation et puis essayer de voir si tout fonctionne, encore une fois.
Nos professeurs ne sont pas forcément tout le temps avec nous pendant les cours. On a des activités à faire et on est responsables de nos tâches à faire. On a un certain temps pour les faire et c’est à nous d’organiser notre temps de travail. Et du coup, je trouve ça bien plus agréable, ça nous responsabilise, en plus.
Le travail se fait effectivement avec cette autonomie dont je parlais et il est accompagné par les enseignants, qui d’ailleurs vont les évaluer au fil de l’eau, et qui vont intervenir à chaque fois que les élèves expriment des besoins. Mais ce sont vraiment les élèves qui vont choisir les solutions techniques, technologiques à mettre en œuvre et ils vont être simplement accompagnés par les enseignants qui, évidemment, les ont formés au préalable.
– Vous imprimez le dossier technique où, à l’intérieur, il y a les schémas que vous allez devoir réaliser.
En terminale, on a donc, je dirais, deux parties distinctes dans l’année. La première partie de l’année, qui s’arrête début janvier, où on pratique beaucoup de TP, on fait pas mal de cours également et en fait, la deuxième partie de l’année, on commence le projet, le projet de bac et on utilise tout ce qu’on a vu en cours au début de l’année pour pouvoir avancer sur ce projet.
On travaille sur un projet sur la domotique. Ce projet va nous permettre de réunir beaucoup d’informations sur la maison et on pourra savoir quelles sont les portes ouvertes, les fenêtres ouvertes et aussi savoir s’il y a un courrier dans la boîte aux lettres, et aussi ouvrir le portail à distance. Ce qui était bien avec ce projet, c’est pour ça qu’on l’a pris, c’est qu’on pouvait avoir un projet global sur tout ce qu’on a fait pendant l’année. Et du coup, c’était très intéressant pour réviser, pour bien se remettre les bases, et puis après aussi pour le bac.
Je suis vraiment très content de cette filière en STI2D. Parce que par rapport à la seconde où j’étais quelqu’un de plutôt réservé, j’ai pu beaucoup plus m’exprimer, gagner également en autonomie.
Moi, j’étais en seconde professionnelle. La voie technologique, comparée à la générale, il va y avoir plus de pratique, donc on va vraiment pouvoir toucher à ce qu’on va faire. Et comparée à la professionnelle, il va y avoir toute une partie de théorie et donc c’est le fait de lier la théorie à la pratique. C’est, je trouve, pour moi, ça a été le juste milieu.
J’ai voulu aller en STI2D parce que je pense que pour mon futur métier, ça pourrait être important. Sachant que je veux devenir ingénieure en informatique, donc la STI2D, ça va toucher tout ce qui est numérique, informatique, donc c’est une bonne filière pour commencer.
Le bac STI2D n’est pas un bac professionnalisant, c’est-à-dire qu’ils doivent poursuivre des études. Et en général, on a 75 % de nos étudiants, enfin de nos lycéens, qui partent dans des études courtes et on a 25 % d’autres, du coup, qui partent vers des études de type classes préparatoires aux grandes écoles, et également à l’université. -
Ema – Aenor
question ajouté : La STI2D ça sert à faire quels métier ?
Grâce à la STI2D , divers métiers s’offrent à nous . En effet , il en existe plusieurs qui on en liens avec l’informatique comme ingénieurs en informatique , ingénieurs dans l’industrie , administrateur réseaux , infographiste … -
MadaliN ET Lancelot
La filière STI2D est une filière technologique qui, à la différence de la voie générale où on peut avoir, par exemple, des sciences de l’ingénieur, va permettre aux élèves, vraiment, d’expérimenter et pas seulement de rester sur des concepts. Puisqu’en STI2D, l’idée, c’est vraiment d’avoir, de découvrir ce que c’est l’innovation technologique, et 2D parce qu’il y a développement durable. Et aujourd’hui, on essaie de penser pour les futurs techniciens, ingénieurs, dans l’industrie, de penser vraiment les produits avec cette notion de développement durable.
Donc en fait, là, c’est mon téléphone qui fait la vidéo. Je suis dans l’informatique depuis que je suis tout petit et la programmation, ça me tentait depuis tout le temps. C’était vraiment ce que j’attendais, parce que du coup, là, je code, je fais du câblage, donc c’est vraiment pas mal. Et puis, il y a beaucoup de pratique aussi.
Dans certaines matières, on n’a pas forcément des cours où le prof nous parle et on répond, on va avoir une feuille, des consignes, après on fait, en fait, on expérimente nous-mêmes. Par exemple, en SIN, on a des programmes, après on doit les tester, on doit en créer certains nous-mêmes.
Ils vont faire vraiment de la pratique expérimentale avec, selon la spécialité, du travail en informatique, de la modélisation de pièces sur informatique puis ensuite du prototypage, voire du travail sur tout ce qui est gestion des alimentations de l’énergie dans d’autres spécialités. Donc, ce sont vraiment des cours où ils ont une grande autonomie parce qu’ils travaillent beaucoup avec des projets.
Ici, on a un robot. On devait faire un robot par équipe de quatre ou cinq. Donc ici, nous, concrètement, en tant qu’E-tech, on doit réaliser toute la partie modélisation 3D.
Et les SIN, eux, ils ont apporté tout ce qui est les cartes informatiques, les servomoteurs pour, par exemple, je vous donne l’exemple ici : on a une espèce de portique qui s’ouvre quand on enclenche un bouton, qui sera déclenché grâce aux servomoteurs.
En soi, ce genre de projets, ça nous permet d’acquérir beaucoup de compétences sur la réalisation de projets. On doit avoir une partie de conception personnelle et puis après, pour faire les tests, il y a aller voir nos collègues qui sont en programmation et puis essayer de voir si tout fonctionne, encore une fois.
Nos professeurs ne sont pas forcément tout le temps avec nous pendant les cours. On a des activités à faire et on est responsables de nos tâches à faire. On a un certain temps pour les faire et c’est à nous d’organiser notre temps de travail. Et du coup, je trouve ça bien plus agréable, ça nous responsabilise, en plus.
Le travail se fait effectivement avec cette autonomie dont je parlais et il est accompagné par les enseignants, qui d’ailleurs vont les évaluer au fil de l’eau, et qui vont intervenir à chaque fois que les élèves expriment des besoins. Mais ce sont vraiment les élèves qui vont choisir les solutions techniques, technologiques à mettre en œuvre et ils vont être simplement accompagnés par les enseignants qui, évidemment, les ont formés au préalable.
– Vous imprimez le dossier technique où, à l’intérieur, il y a les schémas que vous allez devoir réaliser.
En terminale, on a donc, je dirais, deux parties distinctes dans l’année. La première partie de l’année, qui s’arrête début janvier, où on pratique beaucoup de TP, on fait pas mal de cours également et en fait, la deuxième partie de l’année, on commence le projet, le projet de bac et on utilise tout ce qu’on a vu en cours au début de l’année pour pouvoir avancer sur ce projet.
On travaille sur un projet sur la domotique. Ce projet va nous permettre de réunir beaucoup d’informations sur la maison et on pourra savoir quelles sont les portes ouvertes, les fenêtres ouvertes et aussi savoir s’il y a un courrier dans la boîte aux lettres, et aussi ouvrir le portail à distance. Ce qui était bien avec ce projet, c’est pour ça qu’on l’a pris, c’est qu’on pouvait avoir un projet global sur tout ce qu’on a fait pendant l’année. Et du coup, c’était très intéressant pour réviser, pour bien se remettre les bases, et puis après aussi pour le bac.
Je suis vraiment très content de cette filière en STI2D. Parce que par rapport à la seconde où j’étais quelqu’un de plutôt réservé, j’ai pu beaucoup plus m’exprimer, gagner également en autonomie.
Moi, j’étais en seconde professionnelle. La voie technologique, comparée à la générale, il va y avoir plus de pratique, donc on va vraiment pouvoir toucher à ce qu’on va faire. Et comparée à la professionnelle, il va y avoir toute une partie de théorie et donc c’est le fait de lier la théorie à la pratique. C’est, je trouve, pour moi, ça a été le juste milieu.
J’ai voulu aller en STI2D parce que je pense que pour mon futur métier, ça pourrait être important. Sachant que je veux devenir ingénieure en informatique, donc la STI2D, ça va toucher tout ce qui est numérique, informatique, donc c’est une bonne filière pour commencer.
Le bac STI2D n’est pas un bac professionnalisant, c’est-à-dire qu’ils doivent poursuivre des études. Et en général, on a 75 % de nos étudiants, enfin de nos lycéens, qui partent dans des études courtes et on a 25 % d’autres, du coup, qui partent vers des études de type classes préparatoires aux grandes écoles, et également à l’université. -
Albin et Noah
Transcription vidéo présentation STI2D
La filière STI2D est une filière technologique qui, à la différence de la voie générale où on peut avoir, par exemple, des sciences de l’ingénieur, va permettre aux élèves, vraiment, d’expérimenter et pas seulement de rester sur des concepts. Puisqu’en STI2D, l’idée, c’est vraiment d’avoir, de découvrir ce que c’est l’innovation technologique, et 2D parce qu’il y a développement durable. Et aujourd’hui, on essaie de penser pour les futurs techniciens, ingénieurs, dans l’industrie, de penser vraiment les produits avec cette notion de développement durable.
o
Donc en fait, là, c’est mon téléphone qui fait la vidéo. Je suis dans l’informatique depuis que je suis tout petit et la programmation, ça me tentait depuis tout le temps. C’était vraiment ce que j’attendais, parce que du coup, là, je code, je fais du câblage, donc c’est vraiment pas mal. Et puis, il y a beaucoup de pratique aussi.
Dans certaines matières, on n’a pas forcément des cours où le prof nous parle et on répond, on va avoir une feuille, des consignes, après on fait, en fait, on expérimente nous-mêmes. Par exemple, en SIN, on a des programmes, après on doit les tester, on doit en créer certains nous-mêmes.
Ils vont faire vraiment de la pratique expérimentale avec, selon la spécialité, du travail en informatique, de la modélisation de pièces sur informatique puis ensuite du prototypage, voire du travail sur tout ce qui est gestion des alimentations de l’énergie dans d’autres spécialités. Donc, ce sont vraiment des cours où ils ont une grande autonomie parce qu’ils travaillent beaucoup avec des projets.
Ici, on a un robot. On devait faire un robot par équipe de quatre ou cinq. Donc ici, nous, concrètement, en tant qu’E-tech, on doit réaliser toute la partie modélisation 3D.
Et les SIN, eux, ils ont apporté tout ce qui est les cartes informatiques, les servomoteurs pour, par exemple, je vous donne l’exemple ici : on a une espèce de portique qui s’ouvre quand on enclenche un bouton, qui sera déclenché grâce aux servomoteurs.
En soi, ce genre de projets, ça nous permet d’acquérir beaucoup de compétences sur la réalisation de projets. On doit avoir une partie de conception personnelle et puis après, pour faire les tests, il y a aller voir nos collègues qui sont en programmation et puis essayer de voir si tout fonctionne, encore une fois.
Nos professeurs ne sont pas forcément tout le temps avec nous pendant les cours. On a des activités à faire et on est responsables de nos tâches à faire. On a un certain temps pour les faire et c’est à nous d’organiser notre temps de travail. Et du coup, je trouve ça bien plus agréable, ça nous responsabilise, en plus.
Le travail se fait effectivement avec cette autonomie dont je parlais et il est accompagné par les enseignants, qui d’ailleurs vont les évaluer au fil de l’eau, et qui vont intervenir à chaque fois que les élèves expriment des besoins. Mais ce sont vraiment les élèves qui vont choisir les solutions techniques, technologiques à mettre en œuvre et ils vont être simplement accompagnés par les enseignants qui, évidemment, les ont formés au préalable.
– Vous imprimez le dossier technique où, à l’intérieur, il y a les schémas que vous allez devoir réaliser.
En terminale, on a donc, je dirais, deux parties distinctes dans l’année. La première partie de l’année, qui s’arrête début janvier, où on pratique beaucoup de TP, on fait pas mal de cours également et en fait, la deuxième partie de l’année, on commence le projet, le projet de bac et on utilise tout ce qu’on a vu en cours au début de l’année pour pouvoir avancer sur ce projet.
On travaille sur un projet sur la domotique. Ce projet va nous permettre de réunir beaucoup d’informations sur la maison et on pourra savoir quelles sont les portes ouvertes, les fenêtres ouvertes et aussi savoir s’il y a un courrier dans la boîte aux lettres, et aussi ouvrir le portail à distance. Ce qui était bien avec ce projet, c’est pour ça qu’on l’a pris, c’est qu’on pouvait avoir un projet global sur tout ce qu’on a fait pendant l’année. Et du coup, c’était très intéressant pour réviser, pour bien se remettre les bases, et puis après aussi pour le bac.
Je suis vraiment très content de cette filière en STI2D. Parce que par rapport à la seconde où j’étais quelqu’un de plutôt réservé, j’ai pu beaucoup plus m’exprimer, gagner également en autonomie.
Moi, j’étais en seconde professionnelle. La voie technologique, comparée à la générale, il va y avoir plus de pratique, donc on va vraiment pouvoir toucher à ce qu’on va faire. Et comparée à la professionnelle, il va y avoir toute une partie de théorie et donc c’est le fait de lier la théorie à la pratique. C’est, je trouve, pour moi, ça a été le juste milieu.
J’ai voulu aller en STI2D parce que je pense que pour mon futur métier, ça pourrait être important. Sachant que je veux devenir ingénieure en informatique, donc la STI2D, ça va toucher tout ce qui est numérique, informatique, donc c’est une bonne filière pour commencer.
Le bac STI2D n’est pas un bac professionnalisant, c’est-à-dire qu’ils doivent poursuivre des études. Et en général, on a 75 % de nos étudiants, enfin de nos lycéens, qui partent dans des études courtes et on a 25 % d’autres, du coup, qui partent vers des études de type classes préparatoires aux grandes écoles, et également à l’université.